Il y a une intimité qui se dégagent de ce mur. Tant de gens vivent dans la rue, que leurs ondes et auras semblent y être inscrits. On y trouve un soulier oublié, perdu; un vélo qui en a vu d'autres, mais qui n'a pas été rejeté pour son manque de lustre et qui rend toujours service; et ce mur défraîchi qui a connu de meilleurs jours, sillonné de rides et de plis, a été tour à tour réparé, repeint, et rongé par les pluies de la mousson. Il n'y a que la fenêtre qui semble fraîche et solide. Est-ce là une allégorie pour l'optimisme, l'espoir et la persévérance qui se reflètent malgré tout dans les yeux de ses habitants?
dimanche 7 décembre 2008
Patrick (de Normandie)
Il y a une intimité qui se dégagent de ce mur. Tant de gens vivent dans la rue, que leurs ondes et auras semblent y être inscrits. On y trouve un soulier oublié, perdu; un vélo qui en a vu d'autres, mais qui n'a pas été rejeté pour son manque de lustre et qui rend toujours service; et ce mur défraîchi qui a connu de meilleurs jours, sillonné de rides et de plis, a été tour à tour réparé, repeint, et rongé par les pluies de la mousson. Il n'y a que la fenêtre qui semble fraîche et solide. Est-ce là une allégorie pour l'optimisme, l'espoir et la persévérance qui se reflètent malgré tout dans les yeux de ses habitants?
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