Je trouve ce portrait saisissant, bien que cette photographie soit plus sombre que l'original. D'une délicatesse fine et sobre dans son opulence, le superbe châle, la coiffe de tulle et la robe ont reçus une attention toute particulière. Les orchidées, si fragiles, équilibrent et renforcent l'ensemble. Ekaterina Sergeevna Advulina a été peint en 1822. Mon esprit tente sans cesse de saisir ce qui émane de ce tableau. Une contradiction intérieure, un regard si triste, si fatigué et le reste qui semble respirer la joie, l'attirance sensuelle de la longue nuque, la dignité, l'opulence... Le réalisme des mains, qui laissent tranparaître les veines. La présence de la fenêtre semble être un cadeau, une ouverture sur le monde... le regard... En fait, c'est la posture de Mona Lisa, ici, une Ekaterina qui regarde ailleurs, avec le même demi-sourire énigmatique.
samedi 6 décembre 2008
KIPRENSKY, Orest Adamovich
Je trouve ce portrait saisissant, bien que cette photographie soit plus sombre que l'original. D'une délicatesse fine et sobre dans son opulence, le superbe châle, la coiffe de tulle et la robe ont reçus une attention toute particulière. Les orchidées, si fragiles, équilibrent et renforcent l'ensemble. Ekaterina Sergeevna Advulina a été peint en 1822. Mon esprit tente sans cesse de saisir ce qui émane de ce tableau. Une contradiction intérieure, un regard si triste, si fatigué et le reste qui semble respirer la joie, l'attirance sensuelle de la longue nuque, la dignité, l'opulence... Le réalisme des mains, qui laissent tranparaître les veines. La présence de la fenêtre semble être un cadeau, une ouverture sur le monde... le regard... En fait, c'est la posture de Mona Lisa, ici, une Ekaterina qui regarde ailleurs, avec le même demi-sourire énigmatique.
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