J'ai vécu une partie de mon adolescence dans une maison qui possédait deux murs. Le reste était vitrine. L'arrière de la maison vu de l'intérieur ressemblait à la vue dans ce tableau. Là où on voit une clôture divisant le terrain, existait la même division non-clôturée avec nos voisins... malgré l'absence de signes divisant la grande étendue de gazon vert où un arbre ou deux, épars apparaissaient dans le paysage des grands terrains qui menaient à la rivière... L'intérieur de notre maison était, pour l'époque, considéré futuriste. Une grande vue à l'extérieur. Mais chez moi, seul le Journal de Montréal, le Dimanche Matin, le Allo Police, le Photo Police, quelques photo-romans et revues de bandes dessinées pouvaient de temps à autre changer de main... Une vue étroite à l'intérieur.
samedi 6 décembre 2008
MODI, Manish
J'ai vécu une partie de mon adolescence dans une maison qui possédait deux murs. Le reste était vitrine. L'arrière de la maison vu de l'intérieur ressemblait à la vue dans ce tableau. Là où on voit une clôture divisant le terrain, existait la même division non-clôturée avec nos voisins... malgré l'absence de signes divisant la grande étendue de gazon vert où un arbre ou deux, épars apparaissaient dans le paysage des grands terrains qui menaient à la rivière... L'intérieur de notre maison était, pour l'époque, considéré futuriste. Une grande vue à l'extérieur. Mais chez moi, seul le Journal de Montréal, le Dimanche Matin, le Allo Police, le Photo Police, quelques photo-romans et revues de bandes dessinées pouvaient de temps à autre changer de main... Une vue étroite à l'intérieur.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire