Le tableau choisi s'intitule La mort de l'auteur. D'abord, cela aurait pu être quelqu'un qui dort. Puis, on sait que nous somme en présence de la mort. Mais, ce n'est pas n'importe quel mort. C'est celle d'un auteur. Cela rend encore plus vrai, plus réel, plus tangible, le fait que la voix de l'homme ne se fera plus jamais entendre par sa plume. Plus jamais de prose. Plus jamais d'idées couchées sur le papier. Un vide effarant. Le silence. Il nous est soudainement impossible de juste garder notre distance avec... la mort. Ce n'est plus un concept, c'est la difficile perte. Cela nous pousse à entrevoir notre propre fin... Aussi douloureux soit-il... Est-ce qu'une qualité différente de son coup de pinceau aurait altéré, amélioré, diminué ce message?
jeudi 4 décembre 2008
DUMAS, Marlene
Le tableau choisi s'intitule La mort de l'auteur. D'abord, cela aurait pu être quelqu'un qui dort. Puis, on sait que nous somme en présence de la mort. Mais, ce n'est pas n'importe quel mort. C'est celle d'un auteur. Cela rend encore plus vrai, plus réel, plus tangible, le fait que la voix de l'homme ne se fera plus jamais entendre par sa plume. Plus jamais de prose. Plus jamais d'idées couchées sur le papier. Un vide effarant. Le silence. Il nous est soudainement impossible de juste garder notre distance avec... la mort. Ce n'est plus un concept, c'est la difficile perte. Cela nous pousse à entrevoir notre propre fin... Aussi douloureux soit-il... Est-ce qu'une qualité différente de son coup de pinceau aurait altéré, amélioré, diminué ce message?
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