J'ai observé cette toile longuement. Et je n'arrive jamais à résoudre ce que j'y vois. Assise sur le bord d'un siège ou d'un lit où on retrouve un grand édredon, une dame chapeautée couverte d'une cape rouge, sur laquelle quelques gouttes d'eau dégoulinent, dont une libre dans l'air, fait la lecture ou regarde sans voir un point hors champ, pensive. Son visage est illuminé de rouge, comme le banc. On ressent une fébrilité, une instantanéité et dans un lieu de tranquillité sécurisant... La cape rouge ne divulgue pas son secret. La dernière fois que j'ai été intriguée à ce point fut devant une illusion d'optique où tout le monde déclarait voir un visage alors que je n'y voyait que dalle. Déterminée, j'ai fixé cette image des jours durant... jusqu'à ce que mon esprit me permette de la regarder autrement...
samedi 6 décembre 2008
MUCHA, Alphonse Maria
J'ai observé cette toile longuement. Et je n'arrive jamais à résoudre ce que j'y vois. Assise sur le bord d'un siège ou d'un lit où on retrouve un grand édredon, une dame chapeautée couverte d'une cape rouge, sur laquelle quelques gouttes d'eau dégoulinent, dont une libre dans l'air, fait la lecture ou regarde sans voir un point hors champ, pensive. Son visage est illuminé de rouge, comme le banc. On ressent une fébrilité, une instantanéité et dans un lieu de tranquillité sécurisant... La cape rouge ne divulgue pas son secret. La dernière fois que j'ai été intriguée à ce point fut devant une illusion d'optique où tout le monde déclarait voir un visage alors que je n'y voyait que dalle. Déterminée, j'ai fixé cette image des jours durant... jusqu'à ce que mon esprit me permette de la regarder autrement...
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