lundi 8 décembre 2008

ZORN, Anders

Anders Zorn est né le 18 février 1860. Son père était un brasseur de bière et connu sa mère, du fait qu'elle avait un travail saisonnier dans une brasserie. Il ne l'épousa pas mais reconnu la paternité de l'enfant issu de leur rencontre. Il mourut sans connaître son fils en 1872. Ses grand-parents l'élevèrent. Il fréquenta une école de Enköping dans le comté d'Uppsala en Suède à 12 ans et à 15, il entra à la Royal Academy of Art de Stockholm. Il démontra d'abord son talent en sculpture sur bois mais eût tôt fait de s'intéresser à l'aquarelle, la peinture et la gravure, desquelles il créa 289 plaques au long de sa carrière. En 1880, il soumis le portrait d'une enfant en deuil lors d'une exposition étudiante qui propulsa sa réputation et lui généra de nombreuses commandes. Entre 1881-1885, suite à la rencontre de celle qui deviendra sa femme, il étudia en France et en Espagne afin de s'assurer la capacité de générer un revenu pour sa future famille, conséquemment sa technique évolua grandement. Il épousa Emma en 1885 et les onze années qui suivirent, il les passa principalement en Angleterre et en France, mais revenaient tous les étés en Suède. La première année de son mariage vît ses aquarelles atteindre maturité et maîtrise qui lui valurent une solide réputation. En 1887, il entreprit sérieusement de peindre à l'huile. De 1889 à 1894, il composa des oeuvres relatant la vie de son village qui lui assurèrent la renommée à Paris. Bien que ce soit son talent de portraitiste qui le porta aux nuées de la réussite, en 1891, il emménagea à Paris et se concentra sur les nus extérieurs qui faisaient sa réputation. Subséquemment, il fit sept voyages aux États-Unis pour remplir des commandes de portraits dont trois de présidents américains. En 1896, il revint à sa Suède natale. Très attachés aux gens de Mora, lui et sa femme créèrent des organismes pour l'initiation à la lecture, une bibliothèque, un établissement d'enseignement secondaire, un foyer d'accueil pour les jeunes. Très malade dans les dernières années de sa vie, il mourut le 22 août 1920. Sa femme lui survécut de vingt-et-un ans. Elle déploya ses énergies à ériger un Musée à la mémoire de son mari tout en maintenant les actions bénévoles envers la ville de Mora et ses habitants. Elle mourut le 4 janvier 1942.

Il m'est arrivé à quelques reprises lorsque j'étais petite de croiser par inadvertance des gens qui se rencontraient chaleureusement, illicitement, clandestinement dans un champ, un bois, ou un parc, sans comprendre la surprise, les rires étouffées, les excuses, les mouvements rapides vers leurs vêtements éparses ou encore pendouillants deci delà à un bras, une jambe... mais je n'ai jamais perçu de honte. Je n'y voyais rien non plus, habituée à la nudité qui était une «denrée» quotidienne dans l'entreprise de conditionnement physique de mes parents. Dans ma famille élargie, plus catholique que le pape peut-être, tout était tû, caché, nié, réprimandé et fait derrière des portes closes sans un bruit, à la noirceur... Nous ne pouvions en parler ni l'évoquer mais nous ne devions surtout pas être complexées de notre corps... Messages mixtes complexes à démêler. Cela me fait observer qu'il y a longtemps que j'ai surpris quiconque... Tout est ouvertement là, à la vue et au su de tous, ou tout est monneyé, plus rien de vraiment intime dans la nature... du moins, en ville!



ZHU, Yi Yong

Zhu Yi Yong est né à Chongching dans la province Szechwan en 1957. En 1977, il a été du premier groupe d'étudiants à être admis après la révolution culturelle en peinture à l'huile au département de peinture de l'Institut des Beaux-Arts de Szechwan en Chine. Après sa graduation, il devint professeur associé en peinture à l'huile, poste qu'il occupe toujours. Il a une excellente réputation en Chine et, est détenteur de prix prestigieux. Ses travaux figurent dans le Musée national des arts de Chine à Beijing. Son style est hautement réaliste et il est réputé pour son maniement délicat de la lumière. Sa série monochromatique sur les enfants qui, jouant à l'universel Cat's Cradle, manipulent chacun une version d'une étoile de fil rouge - symbole du communisme et du socialisme, exprime ainsi, à la fois le vestige de la mémoire collective chinoise, la perpétuation du principe de force commune, sa fragilité et la possibilité individuelle de l'interpréter qui se trouve dans les mains de la descendance.

Tant d'aspects de cette photo me semble familiers: la joie communicative de l'expression de l'homme, le regard inquisiteur de l'enfant qui tient en place adroitement le fil rouge. Ce sont des aspects universels de l'humain. Mais je ressens aussi une vague crainte car ces humains-là, d'une culture qui ne m'est pas familière, détiennent peut-être un pouvoir de se renouveler que la génération des miens n'a pas... eux en émergence, nous en obsolescence... et c'est la balance du monde qui pourrait bien changer...


Le nombre. La jeunesse. Têtes et pieds nus. Le mur. La brèche. Et le reste est confus.


ZHENG, Zhi Yue

Zhiyue Zheng est né à Shanghai en Chine en 1957. Il tient sa première exposition à l'âge de douze ans. Il a étudié l'illustration au Beijing Central Academy of Arts and Crafts et la peinture à l'huile au Jiao Tong University à Shanghai. De 1980 à 1988, il a tenu maintes expositions régionales et nationales en Chine desquelles il remporta plusieurs prix. Membre de la Stony Brook Picture Research Institute et de la China Artist Association (Shanghai Branch), il réside maintenant au New Jersey aux États-Unis.

Cette jeune tibétaine a le regard inquisiteur de n'importe quel enfant intelligent, confiant et méfiant à la fois. En examinant ce portrait, l'on retient une information intéressante et colorée d'une culture, qui de mon point de vue nord américain m'est étrangère. Elle donne à cette toile un intérêt particulier. Mais au-delà de l'innocence et de la curiosité, il y a quelque chose d'impudique dans ce regard, du sien comme du mien. Mon regard de parent voit la possibilité de contamination. Ce n'est pas ce que je voie qui me préoccupe, mais ce dont cette enfant est témoin. Les enfants absorbent tout comme des éponges... et tout ce qu'on absorbe détermine ce que nous sommes. C'est l'artiste chinois qu'elle examine ainsi. La culture tibétaine est en danger d'être éradiquée par la contamination de sa descendance face à l'hégémonie chinoise. Je dis contamination parce que ces nouvelles informations que l'enfant recueille sont invasives et affectent son identité. À l'artiste qui a peint ce tableau, je peux dire qu'il a créé une oeuvre merveilleuse. Mais la nation dont il est issu est responsable d'une contamination qui nous laissera tous appauvris, qui laissera les générations tibétaines à venir dans la confusion, coupées de leurs racines, de leur histoire, anonymes et diffus. Ultimement tout est changement. Mais qui nous le signifiera si les symboles d'un peuple qui avait pour culte la sagesse, la connaissance de soi et la paix se trouvent ainsi dévastés?

ZEC, Safet

Safet Zec est né en 1943 à Rogatica en Yougoslavie (aujourd’hui Bosnie-Herzégovine), fils de coordonnier, le dernier de huit enfants. Il commence à dessiner et à peindre à douze ans. Il gradua d'abord de l’École des Arts Appliqués de Sarajevo, puis de l’Académie des Beaux-Arts de Belgrade en 1969. Le courant montant de l'époque était le post-modernisme... à contre-courant avec sa tendance naturelle au figuratif. Cela l'a désillusionné: il détruisit la majorité des oeuvres de cette époque. Il crû abandonner l'art pour la musique un temps, mais il ne pu s'y résoudre. En 1983, il rénove une maison historique avec sa femme et s'établit un atelier à Pocitelj, près de Mostar, une sorte de colonie artistique. Quatres ans plus tard, il revint à Sarajevo tout en faisant la navette à Pocitelj. Avant la désintégration de la Yougoslavie, le rayonnement de la réputation de Zec commençait à dépasser les frontières. Il était à la tête du mouvement "réaliste poétique". Ses travaux étaient exposés dans les galeries en Europe, en Amérique du nord et du sud, au Japon. En 1991, son rêve d'une vie tranquille d'artiste dévoué à son art commença à s'effriter. À son grand désarroi, il a été témoin de sa ville qui vivait paisiblement jusque-là la multi-ethnicité, la multi-religiosité, la multiplicité des langues et des cultures et l'a vu imploser en confrontations haineuses et désastreuses. Cela le laisse encore perplexe et désorienté aujourd'hui. Sa maison et son atelier furent les premiers à périr, ses gravures, les plaques qui représentaient des années de travail disparurent. Puis, ce fut Sarajevo, les gens mouraient, il ne pouvait plus subvenir aux besoins de sa famille, il était temps de partir. Un ami, Corrado Albiccoco l'accueillit à Udine au nord-est de Venise en Italie en 1992 avec sa famille et lui ouvrit les portes de son atelier. Bien que cela lui fut difficile de repartir de zéro, il produit, depuis, une oeuvre superbement riche.. de silence. Ses grands thèmes sont les arbres, les fenêtres, le pain, les outils de travail, les façades et les barques. Aujourd’hui il travaille à Venise et dans son ancien atelier à Sarajevo. Il expose régulièrement à Venise, Paris, New York, Sarajevo…

Cette scène me rappelle mes visites clandestines chez ma grand-mère maternelle. Bien que pauvre, souvent, elle avait de la soupe au feu, et une tarte au four. Si j'avais le malheur de manger trop vite mon morceau, elle concluait rapidement que j'avais encore faim et elle m'en redonnait... À chaque visite, on pouvait lire la joie sur son visage alors qu'elle s'affairait à dresser la table. Et tout était bon. J'ai beaucoup apprécié ces visites où nous avions le temps de partager... Elle était d'un naturel généreux et très expressive. Elle aimait bien rire. Elle avait un faible pour ses enfants adultes les plus troublés qui, sans vergogne, venait la dérober de ses économies. Ils en avaient plus besoin qu'elle, disait-elle, sans rancune. Vers la fin de sa vie, elle devint paralysée et ne pu plus parler, ni nous serrer dans ses bras. Afin de nous signifier sa joie et son affection, elle nous mordait (sans dent) la main. Jusqu'à la fin, ses yeux bleus furent pétillants et animés. C'était de l'amour, inconditionnel et bienveillant.

ZDRALE, Zack

Zack Zdrale est originaire du Wisconsin. Bachelier en Arts et sciences en 1999, à sa graduation, il entreprit des études d'après modèle vivant auprès de Robert L. Schultz. Il a aussi travaillé dans l'industrie de l'impression au cadre, le design, les produits imprimés et posters pour les groupes musicaux. Suivirent, d'autres cours de dessin avec modèle au Pacific Northwest College of Art. Sa formation, avec une forte approche des maîtres du 16e et 17e siècle, atteint son paroxysme au cours de ses études de maîtrise en peinture figurative à l'Academy of Art University de San Francisco dont il gradua avec honneurs. Aujourd'hui, il enseigne là-bas aux départements des études des premier et second cycles. Ses compositions et thématiques sont très contemporaines et rendent compte de la condition humain telle qu'il la perçoit, mais ses tableaux sont exécuté avec une fine et impeccable technique traditionnelle. Il fut choisi par la San Francisco Art Dealers Association pour figurer dans le programme d'introduction de nouveaux talents de 2008.

Cette image est puissante. Se battre. Bien que je sois une femme, j'ai été entraînée très jeune à l'idée de me battre pour défendre ma vie. Je n'ai pas reçu d'entraînement formel, mais mon père tenait à ce qu'on ait le sentiment de pouvoir nous défendre nous-mêmes si en situation de désavantage. Il m'a déjà dit que si une femme voulait, elle pouvait toujours se soustraire à une attaque et pour soutenir ses propos, il me retenait dans une position ne me permettant pas de bouger jusqu'à ce que l'épuisement, la peur et le désespoir me gagnent... et parfois au-delà, jusqu'à ce que je sentes se transformer l'énergie en moi dans une intention froide et puissante: me libérer sans riposte. Le jour où j'y suis parvenue, il n'y eût plus ce jeu. Bien intentionné, mais inapproprié, maladroit et sans méthode. C'est beaucoup plus tard que je me suis intéressée à la discipline physique et au rapport d'énergie comme dans le Tai Chi ou le Wing Chun car le goût de me battre défensivement ne m'a jamais quittée. C'est très différent de se battre pour sa supériorité, pour maintenir son pouvoir en place, ou comme rite de passage nécessaire dans le monde des hommes...

ZACCHI, Jean-Marie

Jean-Marie Zacchi est né le 9 avril 1944. Diplômé de l'École supérieure des arts modernes de Paris. Il débute sa carrière en 1963, à 19 ans, au Salon des artistes français au Grand Palais de Paris. Depuis, il cumule des titres impressionnants: en 1991, il est peintre officiel pour l'armée; en 1997, membre du comité directeur de la fédération des clubs sportifs et artistiques de la Défense;Président du Salon Violet et du Salon des Artistes français, puis Président d'honneur; Président du 17ième Salon D'Alger; Conseiller de la Japan International Artists Society de Tokyo; Président d'honneur du Taiyo Bijustsu Kyokai-Japon; membre du Conseil français des arts plastiques pour l'UNESCO. Il expose bien sûr en France et dans les pays d'Europe mais aussi au Mexique, en Corée et aux États-Unis. Plusieurs musées autour du monde lui ont rendu hommage. Musées et collections privées possèdent de ses tableaux dans les pays pré-cités et aussi au Brésil, au Chili et en Israël. Bien que l'on puisse dénoter une tendance à l'abstraction, il aime dépouiller le réel, selon une vision réaliste, élégante et sensible. Des bleus magnifiques, des formes détaillées que l'on peut constater devant soi et alors que ce qui se profile au loin est deviné. Un point de vue concret et subtil à la fois. Une belle élégance. Un bel équilibre entre la réalité de le rêve qui donne de la noblesse à ce qui en paraît dénué. Le bleu, couleur de l'eau et du ciel est presque toujours présent.

Marine marchande. Je portes dans mon souvenir la mémoire d'un personnage attachant et unique qui avait fait de la marine marchande son domaine. Ingénieur sur les bateaux, sa vie était faite de contrastes - vie de solitaire dans un univers étroit d'hommes à bord et vie extrême dans les bras de toutes les femmes qui voulaient bien de lui... pour un prix... à terre. Voyageur et buveur aguerri, il avait visité plusieurs fois les ports et les pubs de la planète. Lucide, il a senti un jour l'obligation de se créer un pied-à-terre, lui permettant de se sentir citoyen de quelque part, impliqué dans des rapports normaux au sein d'un réseau amical fait d'hommes et de femmes, loin des extrêmes. Ainsi, il a mené sa vie tripartite pour quelques années. Un jour, il apprît que son corps ne lui laisserait plus longtemps à vivre. Il s'est désengagé de tout, a tout donné, a remeublé un nouvel appartement qu'il a laissé pratiquement dans ses emballages. Il repris un bateau et c'est en mer, assis dans l'espace étroit de sa cabine, là où il aimait lire le soir qu'on le retrouva, mort. La veillée de prière eût lieu dans son club de danseuses favori, après le rapatriement de son corps, dans la ville qu'il avait élue son foyer, dans le respect et profond recueillement de tous ceux et celles qui l'avaient aimé et bénéficié de son coeur d'or. Parmi eux, un compagnon de voyage inséparable dont il avait toujours refusé de nous présenter pour sa loyauté aux excès: bouille sympathique, même rire, même bonhommie directe, même vie tripartite. Ce frère de sang mourût quatre mois plus tard, le coeur brisé, dans les mêmes conditions. Il n'y eût pas de nuitée funéraire. Il n'y a plus eu que l'impression chétive d'entendre le ressac sur la coque, ou était-ce les battements tristes de notre coeur?

WISE, Marie

Mary Wise a toujours su qu'elle était artiste. Sa mère lui a appris très tôt à peindre. Adolescente, elle traînait partout ses pinceaux et ses crayons. Bien qu'elle se considère autodidacte, elle a joui d'un enseignement formel en art. Elle a avidement suivi les cours de peinture sur video de Daniel Green. Puis, en 1976, elle fit son entrée à la Montana State University pour un baccalauréat en Beaux-Arts avec majeur en peinture. Plus tard, elle étudia la gravure à l'Université Gonzaga. Elle n'a jamais cessé ses lectures sur les techniques des grands maîtres et d'autres artistes. Elle admire beaucoup et s'inspire de peintres tels Georgia O'Keeffe, Gustav Klimt, Claude Monet et Vincent van Gogh. Comme sa famille avait déménagé souvent au cours de son enfance, elle s'est promis de ne plus bouger au moment de son mariage à Allen Wise qui partage son intérêt pour la peinture, l'art et l'histoire de l'art. Ils se sont installés à Kalama dans l'État de Washington où ils vivent toujours. Ces années furent principalement dédiées à ses enfants. Jusqu'en 2006, elle fit quelques explorations avec les médiums de l'aquarelle, des crayons de couleurs et du pastel sur papier. C'est après ce hiatus de vingt ans, qu'elle se replongea avec joie dans la peinture de manière plus sérieuse. Elle reprit des cours techniques auprès de Pamela Green de Lake Oswegon en Oregon en 2006. Suivi de deux années d'ateliers au Hipbone Studio , une auprès de Gage Mace et l'autre en atelier de modèle vivant. afin de se spécialiser en peinture figurative. Elle nourrit l'espoir de rejoindre les grands circuits. Il y a peu d'opportunités à Kalama, mais elle figure partout où elle peut: les commerces, les banques, les restaurants, les boutiques de cadeaux. Au cours des années, plusieurs de ses oeuvres ont été acquises par la famille, les voisins, les gens de sa communauté et quelques corporations. Entre autres, elle a attiré beaucoup l'attention avec sa série sur les éoliennes. Mary produit aussi des paysages, des portraits, des natures mortes, des fleurs, des scènes portuaires.

La première voiture de mon père fut d'un modèle semblable, mais bleu poudre. Ce fut la première d'une ribambelle de grandes ritulantes spectaculaires. Tous ces modèles ont flatté son ego, au même titre que les robes pour ma mère. Ne désirant pas abandonner son portefeuille à sa coquetterie, il a toujours choisi des modèles seconde main, pour une fraction de la valeur du clef-en-main chez les concessionnaires. Il se plaignait que ma mère ne sache faire de même! Il a toujours mis de l'emphase sur la planification intelligente. Hormis les allées-retour au boulot, ce sont lors des excursions du dimanche que ses voitures ont roulé le plus souvent. Dû à l'âge, à un problème congénital aux yeux qui s'est détérioré gravement ces dernières années, il s'apprête à redevenir un strict passager. Une étape de plus pour le rendre à la poussière. Deux grandes fins difficile à dissocier. Difficile.